Anemone
Description de l’unité de radar, les caractéristiques techniques tactique

Figure 1: Anemone
Données techniques | |
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Fréquence : | Bande X |
Période de répétition des impulsions (PRI) : |
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Fréquence de répétition des impulsions (FRI) : |
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Largeur d’impulsion (τ) : | |
Temps de réception : | |
Temps mort : | |
Puissance de pointe : | |
Puissance moyenne : | |
Portée instrumentée : | 200 km |
Résolution en distance : | |
Précision : | |
Largeur du faisceau : | |
Coups au but par balayage : | |
Taux de rotation de l’antenne : | |
MTBCF : | |
MTTR : |
Anemone
Le radar Anemone (Appareil Numérisé pour l’Exploitation des Mouvements d’Objectifs Navals Éloignés, est un radar multifonctions fonctionnant en bande X. Le radar utilise la méthode du saut de fréquence et a la capacité de suivre des cibles maritimes de manière discontinue, ce qui améliore sa propre furtivité. Anémone fournit des données au système d’armes de l’avion pour le guidage des missiles anti-navires AM39 „Exocet” et pour le combat aérien contre des cibles terrestres. Il peut également être utilisé pour l’autoprotection de l’avion et a une portée de 100 km contre les cibles aériennes.
Le radar Anemone utilise une antenne à réseau de phase passive plate et un traitement numérique du signal radar. La puissance d’émission est générée par un tube à ondes progressives.
Il a été installé en 1990 sur les avions français de type Super Étendard (de Dassault-Breguet), où il a remplacé le radar Agave devenu obsolète. Environ 40 radars de ce type ont été construits.